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LE VILLAGE DE L’EMPLOI L’OBJECTIF PARITE H/F ET PLUS

Le Village De l’Emploi est la réunion de l’ensemble des acteurs permettant la création d’un emploi directement à un niveau confirmé.


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Le secteur numérique
un univers encore masculin

Les chiffres différent d’une statistique à l’autre mais marquent un même constat : il y a un maximum de 30% de femmes dans le secteur numérique, chiffres étudiants et professionnels, alors qu’elles représentent désormais 50% de la population active française (source La Banque Mondiale).

Et plus grave, seulement 15% de femmes sont dans des fonctions informatiques autres que les fonctions support.

Pourtant, s’il y a bien un secteur où elles peuvent performer et s’épanouir dans leur vie professionnelle et personnelle, c’est bien l’univers valorisant et porteur des Systèmes d’Information.

Dans un contexte de pénurie de ressources qualifiées, avec la forte demande de chantiers en Systèmes d’Informations du fait de la transformation numérique mondiale, ce chiffre est absurde pour le Village de l’Emploi.

Pour le Village de l’Emploi, la montée en expertise, sans différence H/F, tient à une méthode pédagogique qui permet de mettre en valeur les forces de chaque individualité. Et les femmes ont certaines forces professionnelles qui s’adaptent parfaitement à des besoins Grands Comptes dans ce secteur.

Le VDE mène un véritable combat pour la parité et atteint déjà 44% de femmes dans ses effectifs. L’objectif est de proposer aux employeurs de plus en plus de femmes sur les chantiers Systèmes d’Information et de prendre confiance en elle pour partir travailler sur les chantiers d’envergure.


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Comment expliquer ce fossé des genre en informatique ?

L’histoire confirme une tendance qui ne s’arrête jamais : les femmes participent à l’économie et aux enjeux sociaux de toutes sociétés, mais ce sont les hommes qui sont valorisés.

Par exemple, aux Etats-Unis, pendant la 2ème Guerre Mondiale, les femmes participaient au progrès technologique dans tous les domaines scientifiques de pointe, avec des taches complexes. Des calculatrices utilisaient leurs compétences mathématiques, mais leur travail restait minimisé.

Au moment de la diffusion publique d’une grande invention, , il sera courant dans la première moitié du 20ème siècle qu’il ne soit fait mention d’aucun travail féminin dans les comptes rendus officiels.

De plus, les grandes sociétés du secteur essentiellement aux Etats-Unis, vont embaucher de plus en plus d’hommes dans les années 60 et 70. Et cette tendance ne va jamais s’arrêter.


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Ainsi, dès les années 60

A une époque où l’informatique prend réellement une place dans la société et l’activité économique et sociale, hors des domaines purement spatiaux ou militaires, par les grandes nouveautés technologiques, on voit l’importance des femmes décroître, leur rôle étant relégué au second plan.

Pour expliquer la disparité croissante entre hommes et femmes, on peut trouver une explication dans une distinction entre la conception « machine », vu comme une activité masculine, et la « programmation » vu comme un travail de femme.
Cette distinction se retrouve aussi dans la différence « technologie » et « contenu ». Même à la fin du 20ème siècle, les femmes sont recrutées professionnellement pour travailler dans les domaines Multimedia.
À la fin des années 60, la programmation redevient pourtant un métier féminin comme avant les années 1940, avec un taux de 30 à 50%, mais ce sont les hommes qui restent aux postes de Direction et d’encadrement, avec de bien meilleurs salaires.
Une raison objective se confirme dans les années 80 avec l’arrivée des ordinateurs personnels : les utilisateurs sont des hommes et leur engouement pour la technologie numérique intervient dès la petite enfance. Les jeux videos, premiers liens avec l’ordinateur personnel sont conçus pour des hommes.


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Comment expliquer ce fossé des genres en informatique ?

Dans le milieu des années 80, seulement 5% des mères et 19% des filles utilisent un ordinateur à la maison contre 25% des pères et 51% des jeunes garçons (source internet).

Pire encore, la tendance baissière continue à se confirmer dans les années 90 !

La proportion de femmes diplômées en sciences informatiques en 1984 est autour de 37 %, et décline par la suite (source internet).

Ellen Spertus écrit en 1991, un essai intitulé « Why Are There So Few Women in Computer Science? » (Pourquoi y-a-t-il si peu de femmes en informatique),

Au 21ème siècle, même si autant d’hommes que de femmes utilisent des ordinateurs et le Web, la proportion de femmes qui choisissent de se tourner vers une carrière ou des études supérieures en informatique est cinq fois moindre que les hommes.

Les entretiens d’embauche et les tests de personnalité pour un poste de programmeur privilégieraient le stéréotype du caractère antisocial et introverti.

Ainsi, les femmes préfèreraient les métiers dans lesquels la relation humaine est privilégiée, alors que les hommes préfèrent les métiers orientés vers des objets et des tâches, ce qui encore par stéréotype serait le cas des métiers informatiques.


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D’excellente raison pour l’ouverture aux femmes du secteur numérique

Depuis une dizaine d’année, on commence à s’intéresser à la sélection d’étudiants sur la base d’une large gamme de critères, parmi lesquels la capacité de direction et de management de personnes, le sens de la communauté ou de bons résultats en maths ou en sciences, au lieu de la traditionnelle expertise de programmation.
Certainement pour les 4 raisons suivantes majeures :
– Les innovations technologiques, les réseaux sociaux, la mobilité, la transformation numérique concernent tous les utilisateurs hommes et femmes en proportion égale désormais,
– Les grandes entreprises, leader des tendances professionnelles, ont intégré la notion de parité dans leur sélection du fait de la pression médiatique
– L’univers des systèmes d’informations et du numérique en général, fait appel à toutes les capacités, expertises et compétences, sans être purement technique, car c’est un secteur en pénurie de ressources qualifiées.
– D’abord un simple métier du secteur tertiaire, le milieu de l’informatique gagne depuis 10 ans en prestige, et représente une opportunité d’ascension sociale


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Le Village de l’Emploi Réduire les inégalités Hommes/Femmes

44% de nos lauréats sont des lauréates (effectifs pris au 14 février 2020).
Le Village de l’Emploi participe de la mise à égalité des talents dans le secteur numérique, en faisant de cette parité un véritable combat social pour les faire accéder au secteur porteur des Systèmes d’Information.
L’objectif du Village de l’Emploi est d’atteindre la parité parfaite et d’être un modèle dans ce domaine.

Les partenaires employeurs confirment leur intérêt pour cette parité et les Grands Comptes sont très demandeur de cette richesse d’ouverture à la diversité et confirment la pertinence de ce choix.
Car l’évolution technologique des systèmes des organisations économiques et sociales, concerne des hommes et des femmes, leurs aspirations et leurs besoins, et les acteurs de cette transformation numérique doivent être autant des hommes que des femmes.


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Alors jeunes diplômées ou jeunes diplômés BAC+2 à BAC+5 le Village de l’Emploi est ouvert à tous les profils
Car le secteur des SI a besoin de tous les talents

Plusieurs groupes importants sont fondés pour encourager les femmes dans l’industrie informatique. Citons : (source internet)
Association for Women in Computing :une des premières mondiales pour promouvoir l’avancement des femmes dans les professions informatiques
Committee on the Status of Women in Computing Research : établi en 1991 pour augmenter le nombre de femmes dans la recherche et l’éducation informatique.
National Center for Women and Information Technology : une ONG pour accroître le nombre de femmes dans les secteurs technologiques et informatique.
Women in Technology International (WITI) : une organisation mondiale dédiée à la promotion des femmes dans les affaires et en technologie.
Girl Geek Dinners : un groupe international pour promouvoir les femmes Geek de tous âges
Girls Who Code : une ONG qui veut réduire les inégalités H/F dans la programmation et numérique.
Systers : une liste de mailing dédiée au mentorat des femmes de l’informatique.
Femmes Numériques en France sur internet : leur slogan « Pourquoi se priver de 50% de talents » confime leur travail de promotion de la place des femmes dans le secteur numérique.


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Femmes et informatique : le saviez-vous ?

Les femmes et l’informatique c’est une histoire de très longue date et avec des succès majeurs et des anecdotes remarquables.
En voici un échantillon qui vous montre que la parité tant souhaitée est bien plus que justifiée (sources Internet)

Du 19ème siècle jusqu’après la Seconde Guerre mondiale, la programmation est essentiellement effectuée par des femmes.
Ada Lovelace (1815-1852) créé le premier algorithme pouvant être exécuté par un ordinateur
En 1943, presque toutes les personnes employées comme calculateurs sont des femmes.
En 1940, le premier département universitaire de statistiques des États-Unis est créé à l’université d’État de l’Iowa avec une majorité de femmes.. Parmi elles, Mary Clem dirige le département calcul. On lui doit l’invention de l’expression « zero check » qu’on utilise dans le cadre de l’identification d’erreurs de calcul.
Grace Hopper, en 1943, crée les bases des langages de programmation modernes. Grace à elle, plus tard, des non-mathématiciens et des entreprises commencent à s’adonner également à la programmation et à l’utilisation des ordinateurs.
• Le terme « bug » serait basé sur l’anecdote d’un papillon de nuit qui a causé un dysfonctionnement sur un ordinateur électromécanique appelé Mark, sur lequel Grace Hopper travaillait. Le processus pour enlever ce papillon a été qualifié de « debugging ».
Le terme « Software »(logiciel en français), vient du fait qu’après les années 1960, le travail des calculatrices (femmes chargées de calculs sophistiqués) est étiqueté à l’origine comme « soft ».
Edith Clarke est la première femme aux États-Unis à obtenir un diplôme en génie électrique et à travailler en tant qu’ingénieure dans ce secteur chez General Electric
Durant la Seconde Guerre mondiale, les femmes calculatrices noires travaillent autant (voire souvent deux fois plus) que leurs collègues blanches, dans des situations de ségrégation.
La cryptologue Joan Clarke travaille avec son ami Alan Turing sur Enigma. Mais lorsqu’elle est promue, il n’existe pas de postes de « cryptologue féminin senior » dans la fonction publique : on l’inscrit alors dans les registres en tant que linguiste.
Hedy Lamarr, conçoit une méthode de saut de fréquence pour aider au guidage à distance des torpilles de la Navy qui par la suite servira dans des technologies sans fil contemporaines très répandues comme le bluetooth et le Wi-Fi.
En France, en 1959, l’informaticienne Alice Recoque est cheffe de projet du mini-ordinateur Mitra 15, avant de passer à la recherche sur l’intelligence artificielle. Plus tard, en 1978, elle participe à la création de la Commission nationale de l’informatique et des libertés.
Mary K. Hawes en 1959 organise une réunion pour discuter de la création d’un langage de programmation pouvant être utilisé par toutes les entreprises dans leurs applications de gestion. Cette équipe dont Hopper s’implique dans le développement de Cobol (COmmon Business Oriented Language).
Dans les années 60, les centres informatiques aux Etats Unis contiennent le panneau « ouvert seulement aux hommes ».
Jean Sammet, qui travaille à IBM depuis 1961, est responsable du développement du langage de programmation FORMAC. Elle publie un livre, Programming Languages en 1969, « un des livres les plus utilisés dans ce secteur » (d’après The Times en 1972.)
En 1965, Mary Kenneth Keller devient la première Américaine à obtenir un doctorat en informatique
Au début des années 1970, Pam Hardt-English constitue un prototype précurseur de l’Internet, en connectant les librairies et bibliothèques de la baie de San Francisco
Erna Schneider Hoover développe en 1971 le premier brevet obtenu pour un logiciel.
En 1986, Lixia Zhang est la seule diplômée à participer aux réunions de la Internet Engineering Task Force (IETF) et être impliquée dans les prémices du développement d’Internet.
Au 21ème, des femmes ont des rôles clés dans l’industrie de l’informatique, comme Meg Whitman, présidente et CEO de Hewlett Packard Enterprise, et Marissa Mayer, présidente et CEO de Yahoo!, ainsi que porte-parole pour le groupe Google.


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